En début d’année, on a eu le « plaisir » de replonger dans l’horreur de Biohazard avec Resident Evil 7, qui a su marquer un vrai renouveau pour la série. Manque de bol pour les flipettes que nous sommes, on a du remettre le couvert un peu avant les fêtes de fin d’année pour Resident Evil 7 : Gold Edition, comprenant tous les contenus additionnels sortis jusqu’à maintenant en plus du titre original. Prêt à (re)faire dans votre froc ?

La complète, avec œuf chef.

Resident Evil 7 : Gold Edition rassemble le jeu original et les contenus additionnels sortis depuis. Pour ce test, nous nous sommes focalisés sur ces derniers, puisque notre avis sur le jeu en lui-même vous a déjà été donné en début d’année. Nous vous invitons à retourner le consulter si vous souhaitez en savoir plus.

LIRE LE TEST DE RESIDENT EVIL 7, publié le 27 janvier 2017

Pour commencer, il est sans doute bon de lister les éléments disponibles dans ce pack, afin qu’on n’oublie personne.

  • Le jeu Resident Evil 7
  • Le DLC « Vidéos interdites Vol. 1 »
  • Le DLC « Vidéos interdites Vol. 2 »
  • Le DLC « End of Zoe »
  • Le DLC « Not a hero »

Quand on connait la durée de vie déjà conséquente de l’aventure principale – surtout si, comme nous, vous faites un pas en arrière après en avoir fait deux en avant, parce que vous êtes une chochotte – on se dit qu’on en aura pour notre argent en termes d’heures de jeu.

Redfield à couper le beurre

Sans nul doute, le principal intérêt de cette édition va être de retrouver, en plus de l’histoire déjà connue, les deux nouveaux chapitres consacrés à Zoé et Chris Redfield, le petit chouchou des fans. End of Zoe nous propose de prendre le contrôle de Joe, le frère de Jack ; l’oncle de Zoé, donc. On se retrouve ici en présence d’un forestier surpuissant combattant uniquement à mains nues, et évoluant dans les marais comme s’il était dans son salon. On découvre ainsi un tout nouveau gameplay sans armes, qui va nous obliger à repenser complètement la façon d’appréhender les combats, et notamment ceux contre les boss. On retrouve également des scènes de cache-cache contre de gigantesque crocodiles dans les eaux troubles de Louisiane.

Not a hero, pour sa part, est inclus dans cette version, mais disponible en téléchargement gratuit pour tout le monde depuis la sortie de cette nouvelle édition. Changement d’ambiance pour ce contenu mettant en avant le bon Chris Redfield, personnage emblématique de la saga. Il n’est pas venu seul puisque son bon gros fusil à pompe est de la partie également, aboutissant à un épisode beaucoup plus orienté action. C’est très bien rythmé, avec une poignée de nouveaux ennemis à exploser en utilisant des munitions spécifiques.

Ces deux épisodes n’apportent pas énormément de nouveautés en termes de scénario mais viennent malgré tout clôturer de belle manière la saga RE7. A  côté de ça, les aventures apportées par les Vidéos interdites apportent elles aussi leurs lots de précisions sur l’aventure. Girls nous propose de découvrir l’arrivée d’Eveline chez les Baker en vivant cela du point de vue de Zoé, tandis que The Room nous en apprend plus sur Clancy et les circonstances de sa mort.

Si les fans attendaient beaucoup d’intrigues, de nouvelles questions et énigmes, ils risquent d’être assez déçus. Ces DLC n’apportent pas cela, mais viennent très bien clore le chapitre débuté en début d’année. Au final, c’est tout ce que l’on attendait.

[amazon_link asins=’B075TJ47BV,B075TK2JW4,B075TGTB3V’ template=’ProductCarousel’ store=’chjo-21′ marketplace=’FR’ link_id=’5cbc2258-ebb9-11e7-a330-bf767b46f3de’]

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.