Un matin Éric Deguide part à son travail et il ne rentre pas. Commence alors une enquête. Une disparition volontaire ? Piste privilégiée par les enquêteurs.
Pour la dernière compagne de Deguide commence une longue attente remplie d’un espoir fou, même si les jours passent : un jour, il va réapparaître sur le seuil de la porte, il aura une explication qui tient la route. Enfin, ça, c’est son souhait à elle.
Voilà je n’en dirai pas plus de l’intrigue.
Ma découverte avec Paul Colize
Premièrement, je découvre l’auteur grâce à ce livre, Paul Colize. J’en avais déjà entendu parler, essentiellement en bien. Son nom était là dans un coin de ma tête et je m’étais promis que dès que l’occasion se présenterait je le lirai. Merci Conso-Mag, qui permet d’allier l’utile à l’agréable !
Je dois dire que j’ai été agréablement surprise par cette lecture : l’écriture est très belle, ce qui est tout de même rare dans ce genre de romans. Je n’ai toutefois pas eu un coup de cœur, car il manque un peu de fluidité au récit. Il y a quelques passages qui m’ont paru obscurs, mais a contrario, je trouve que ça fait la force et l’originalité du roman, du grand art tout de même quand on arrive à la dernière page.
Moi qui aime les lectures qui ont un petit plus, je suis conquise. D’habitude, je n’aime pas beaucoup les foires du livre ou endroits où rencontrer les auteurs mais ici j’aimerai beaucoup discuter avec l’auteur, lui parler plus en détail de mon ressenti.
En tout cas, une très bonne lecture et une envie irrépressible de lire un autre livre de l’auteur. J’ai beaucoup aimé le fait d’évoquer des problèmes actuels comme le Kazakhgate mais surtout de parler de personnes réelles comme d’Alain Allemand .
PS : je me rends compte que j’ai oublié de parler du personnage sublime de Massimo , une pièce majeure du puzzle .