Le réchauffement climatique est incontestablement le problème majeur dont il faut prendre conscience pour sauver les générations futures. Je parle bien évidement de l’être humain. Cependant, la nature ne peut survivre sans l’écosystème qui l’entoure, sans les animaux. On sait pertinemment que la définition de l’être vivant, c’est naître, se nourrir, grandir, se reproduire et mourir. Or, ce cycle ne peut pas se perpétuer si les conditions, l’environnement se dégrade. Donc pour sauver la nature, qui plus est la planète, il faut que chacun puisse apporter son soutien.
J’ai donc décidé de m’intéresser au livre « Zéro Déchet à la manière d’un lombric » de Nathalie Tordjman et paru aux éditions Salamandre. Convaincue que le zéro déchet reste compliqué à mettre en place, je suis partisane de faire au mieux afin d’apporter ma contribution dans la préservation de notre planète.
La présentation de ce guide permet tout d’abord d’avoir un regard différent sur notre mode de vie et particulièrement sur nos habitudes. L’humain étant l’un des plus grand pollueur de la planète, il est question ici de trouver des solutions en s’inspirant de la nature. Le raisonnement paraît assez surprenant mais depuis l’apparition de la vie sur terre, la nature fonctionne en circuit fermé. Et oui, elle recycle tout, ne gaspille rien.
Place à l’imagination, il est temps de prendre exemple sur mère nature !
Ce guide « Zéro déchet à la manière d’un lombric » vous propose donc douze chapitres inspirés par la faune et la flore. A la manière d’un lynx, vous apprendrez à ne plus gaspiller votre alimentation. Vous avez trop cuisiné, on ne jette plus ! On finit sur plusieurs jours comme le fait ce félin. Il y a des restes, on les cuisine en ragoût, en omelette. Et surtout, on achète le strict minimum. Il faut savoir que le gaspillage alimentaire fait du mal au porte monnaie mais surtout, il conclut au gâchis en énergie, en eau, en matières premières.
La nature recycle ses déchets donc là aussi, il y a de quoi s’inspirer avec le chapitre « composter comme un ver de terre ». Encore une fois, il faut apprendre à modifier son comportement au quotidien. Vous cuisinez, mettez le maximum de vos déchets, de vos épluchures au compost. Faire son compost, c’est gratifiant et je vous dis cela en connaissance de cause même si cela demande de la patience car la décomposition est assez longue. Après tout, cela permet aussi de se rendre compte que nos déchets sont très longs à se désintégrer.
Quant au chapitre « Éliminer ses excréments comme un blaireau », je l’ai abordé avec quelques réserves sur l’élimination de nos excréments et de nos déchets intimes. Même si dans la nature rien ne se perd, et les déjections des uns font le bonheur des autres, ce qui relève des excréments humains demeure à mon sens beaucoup plus complexe. Voilà un chapitre qui traite sans complexe de l’hygiène mais qui propose malheureusement des solutions pas toujours applicables, comme les toilettes sèches.
« Zéro déchet à la manière d’un lombric » vous permettra de faire vos premiers pas dans l’élimination ou la réduction de vos déchets. Des exemples, des explications, des comptes-rendus scientifiques y sont exposés.
Certes, il est difficile de tout mettre en application, mais il convient de garder à l’esprit les cinq R du zéro déchet ? Cinq quoi me direz-vous ? R ? A vous de découvrir quels sont nos erreurs au quotidien, comment les éviter et que faire pour ne plus polluer.