Parmi les best-sellers de ces dernières années, Katherine Pancol a frappé fort en sortant sa trilogie, trilogie qui se démarque par des loufoques. Voici aujourd’hui la critique de ce premier tome.
Je dois admettre que les 80 premières pages, j’ai dû m’accrocher devant la multitude de personnages, les divers liens entre eux, la similitude des personnages (Joséphine-Josiane par exemple, qui n’ont pas vraiment de lien, mais les prénoms sonnent un peu pareil), etc. Passé ce cap, j’ai déroulé ma lecture. Le style de Pancol est fluide et elle nous a appris à connaître ses personnages, mais aussi à les aimer. J’aime beaucoup les points communs entre ses personnages, cette dualité présente tout au long de l’oeuvre : Joséphine-Zoé, Hortense-Iris (et même le frère jumeau de Luca, dont j’ai oublié le nom).
J’ai également beaucoup aimé les inversements de situation : ceux qui partaient avec un malus au départ, qui semblaient moins gâtés par la nature si je puis dire, se sont tous retrouvés grands gagnants à la fin, comme quoi la roue tourne (Joséphine, qui se fait quitter, a une dette sur le dos, une fille ingérable et au final est la grande gagnante ; Iris et Henriette, profitant des fortunes de leurs maris pour vivre grassement et perdent tout petit à petit, entre autre).
Ce n’était pas la première fois que je lisais cette auteure, mais c’était néanmoins la première fois qu’une de ses oeuvres me branchait autant. Preuve de mon engouement, j’ai lu la trilogie à la suite. Si vous cherchez une lecture sans prise de têtes, je vous recommande cette trilogie !