Si je devais qualifier ce livre en un seul adjectif, je dirais « pancolien ». Certes, il s’agit d’un néologisme, mais je pense que tout le monde le comprend ; du moins toute personne qui lit. J’ai trouvé le style d’écriture de ce livre très similaire à celui de Katherine Pancol. Les personnages sont également dignes d’être de celle-ci, le scénario pouvant très bien provenir également de la tête de cette auteure… Néanmoins, c’est loin d’être du plagiat, bien qu’on puisse comparer.
D’ailleurs, parlons-en des personnages. Je les ai tous trouvés attachants, avec leurs déboires, leurs malheurs, leurs incertitudes. Je n’étais vraiment pas pressé de les quitter, mais il a bien fallu lorsque j’ai lu la dernière page et fermé le livre.
Outre cela, j’ai trouvé qu’il s’agissait également d’un témoignage poignant sur le cancer avec l’une des protagonistes qui en est atteinte. On partage sa souffrance, son combat, ses espoirs et ses désillusions. Elin Hilderbrand décrit très bien les effets de la chimiothérapie, un traitement permet de se battre contre la maladie, mais qui ronge également le corps. Un beau message d’espoir pour ceux qui sont atteints de cette maladie.
En bref, j’ai beaucoup comparé le livre à ceux de Katherine Pancol avec leurs similitudes. Mais ce que je n’ai pas dit, c’est que ce livre n’a rien à envier à ceux mondialement célèbres de Pancol, même si Pieds nus reste assez dans l’ombre. Pour les fans de Pancol, c’est une lecture qui vous plaira ; j’en mettrai ma main à couper (façon de parler …) !