Nether est un MMO de survie au stade de bêta, peuplé de monstres et à la sauce « die and retry ». Etrange ? Le mot et faible. Le mélange des style de jeux est pourtant un succès, on ne s’attend pas à voir un MMO en « die and retry » mais il en résulte une certaine alchimie qui de plus, augmente le stress du joueur qui ne se lance pas aveuglément dans l’aventure de peur de mourir bêtement.

Créer un personnage Survivre

Les premières partie que j’ai effectuées ont été disons… courte voire très courte. Car quand on voit un monstre, on sait quoi faire (prendre les jambes à son cou ou l’affronter), mais quand c’est un humain ? Soit il vous dégomme instantanément, soit il vous laisse partir. Enfin il attend plutôt que vous lui tourniez le dos pour mieux vous poignarder. C’est probablement le gros point noir du jeu, car je m’attendais plus à de l’entraide et des sorties en groupes. Nether n’est pas juste un jeu ou il faut se balader et tuer des monstres, on y retrouve du PvE et du PvP. Dans le PvE (joueur contre environnement), on peut par exemple tenter de protéger une zone sécurisée en protégeant et réparant les générateurs qui font fuir les monstres. En PvP (joueur contre joueur), on ne peut, à l’heure actuelle pas faire grand-chose. C’est un peu du kill à vue.

Trouver de la nourriture Combattre des monstres

La map est assez grande, on en a pour des heures de ballades si on aime bien visiter, ce qui fait que l’on ne croise pas des joueurs en permanence (limité à 64 par serveur), à l’exception des « safezones » qui sont LE point de rendez-vous pour ne pas mourir en 20 minutes. D’ailleurs, lors d’une de mes visites en terre inconnue, je suis tombé sur un joli bug d’herbe volante. Mais comme le jeu est encore en bêta et qu’ils cherchent à définir la taille de map parfaite, on ne peut pas vraiment leur en tenir rigueur. Surtout que c’est le seul petit bug que j’ai rencontré. Point de vue scénario, pas grand-chose à dire car pas grand-chose de nouveaux. Les monstres sont apparus suite à un cataclysme, et les humains tentent de survivre. On est donc 9 ans après le cataclysme et la nature a déjà commencé à reprendre ses droits. En gros, il n’y a rien à redire vu qu’il n’y a rien à dire.

Améliorer ses compétences Mourrir

Au niveau graphismes, ils sont assez plaisants et nous immergent bien dans une ville dévastée. Et le jeu ne nécessite pas une centrale nucléaire pour disposer de beaux graphismes. On retrouvera les cycles jour/nuit qui changent l’aspect du jeu. De jour, tout parait beau, on se croirait dans un simple FPS. Mais de nuit, bien que les lieux soient identique, on sent très clairement que l’air s’est rafraichit. Pour le son, l’ambiance est bonne, mais on notera quand même des moments sans son (excepté les bruits de pas). Mais cette absence n’a jamais durée plus d’une quinzaine de secondes. Au premier lancement, je n’ai pas vécu plus de dix minutes. Je suis sorti et boom headshot. Donc après cela, j’ai décidé de la jouer furtif, surtout près des safezones. J’ai ensuite commencé à me balader loin des villes, et là, personne pour me tirer dessus. Malheureusement, on ne trouve pas beaucoup de nourriture et surtout pas d’armes en dehors des villes. Donc revenir avec une pelle, moyen ….

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