Des éditions PKJ, sortie depuis le 3 novembre, je vous présente Did I mention I miss you ?, dernier volet de la saga DIMILY. Vous pouvez retrouver mes précédentes chroniques pour  Did I mention I love you ? et  Did I mention I need you ?. Roman new-adult, ce livre compte 352 pages. Le style très fluide d’Estelle Maskame donne la priorité au dialogue puis vous permettra de vous plonger aisément dans l’histoire.

Après avoir ad-i-m-i-l-y-tome-3-did-i-mention-i-miss-you-848584chevé sa première année à l’université de Chicago, Eden âgée désormais de 19 ans, rentre chez ses parents à Santa Monica pour y passer l’été. Seule depuis sa séparation l’an passé avec Tyler (son demi-frère), la morosité ne l’a plus quittée. Malgré les efforts de sa meilleure amie, Rachel, elle est anéantie et plus vide que jamais. Animée par la colère, elle déteste Tyler au point de lui souhaiter le meilleur pour ne plus jamais le revoir. Cependant de retour à Santa Monica, Tyler, n’est là que pour quelques jours afin de convaincre Eden de le suivre pour lui montrer sa nouvelle vie. Qu’en est-il de cet amour déchiré, animé par la fureur ?

J’ai été très heureuse de retrouver les protagonistes, Eden et Tyler. Je souhaitais qu’une seule chose, découvrir cette fois-ci dans quelle histoire Estelle Maskame allait m’embarquer. Étant le dernier volet, le dénouement de cette histoire nous place dans l’œil du cyclone. Dans l’article du second tome, je vous parlais d’un tourbillon de problèmes ; cette fois-ci nous sommes au cœur de toutes les problématiques possibles et inimaginables.

En sa qualité de page-turner, j’ai dévoré cette lecture en une nuit. Et oui, j’ai fait nuit blanche ! Hormis une romance new-adult, j’ai été passionnée par la complexité des personnages, par la thématique. Tomber amoureuse de son demi-frère peut s’avérer intolérable pour une famille recomposée. Se démarquer des autres familles crée forcément la différence, appuie les préjugés. On a des personnages principaux bien distincts. Eden, meurtrie dans son amour propre, doit faire face aux problèmes, aux attaques verbales de ceux qui réfutent cette liaison même si elle a pris fin. A contrario, Tyler, c’est le personnage complexe. Bien qu’il ait évolué depuis le premier tome, il doit lutter contre ses démons. On repose plus sur l’analyse psychologique. Tout comme dans After de Anna Todd, j’ai retrouvé des personnages complexes autour d’un thème assez tabou.

Vous l’aurez compris cette saga, c’est le coup de cœur.

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.