La Belle Étincelle, téléfilm diffusé pour la première fois le jeudi 5 octobre sur M6, s’inspire
de l’histoire du restaurant parisien éponyme.
Ce récit nous embarque dans la formidable épopée d’un projet de restaurant inclusif mené par de jeunes neuro-atypiques.
Quand une lueur d’espoir devient un avenir flamboyant
La Belle Étincelle, c’est au départ l’histoire de Noé, un jeune garçon passionné de cuisine dont les rêves de gastronomies sont chaque fois entravés par un monde qui ne laisse pas de place à la différence et au handicap.
Mais c’était sans compter sur sa maman Virginie : si aucun restaurant ne veut ouvrir ses portes à son fils, elle érigera elle-même les portes, même s’il faut faire entrer un chef étoilé dans l’équation pour cela !
Juste et vivant
Durant 1h30, La Belle Étincelle fait passer du rire à l’émotion grâce aux prestations des jeunes restaurateurs en herbe, innocents et joyeux, mais aussi de Bernard Campan et Mélanie Doutey particulièrement touchants et authentiques.
Cette histoire atypique vous laissera avec un sourire au coin des lèvres même une fois la télévision éteinte.
Le genre de film à la fois naturel, poignant et engagé qu’on aimerait voir beaucoup plus souvent.
Pourquoi pas en profiter pour découvrir la véritable Belle Étincelle ?