Plus comic con que game show, ce TGS avait réservé un espace microscopique aux jeux indépendant, une pièce de choix pour les jeux de plateau et un morceau de lion pour les webséries françaises et les personnalités de séries.

Un show un peu à l’américaine donc, plus focalisé sur les rencontres des créateurs que vous suivez avec en tête Alexandre Astier, et moins sur les démos et essais de jeux vidéo. Avec peut-être le côté le plus comic con, une avalanche de goodies, de figurines, de jeux de plateau et des jeux vidéo oldies.

Le TGS a aussi montré son intention claire de célébrer les cosplayers avec deux concours, de nombreux stands dédiés aux accessoires de costumes en tout genre, et une foule de cosplayers allant du divertissant au renversant.

Pas forcément un problème pour le visiteur, mais il est peut être temps de renommer le TGS en Toulouse Comic Con. Du coup, ça laisse plus de temps pour les conférences. C’est un peu dommage que le staff nous parque et nous parle comme à du bétail, pour le coup représenter la presse était un inconvénient. Dommage en effet.

Balade dans les stands, on passe des t-shirts qui affichent leurs couleurs geeks fièrement, à des figurines d’une qualité fantastique. On tourne au coin d’un stand vendant de superbes épées d’accessoires et on tombe sur quelques stands de cuisine japonaise. On parvient à trouver quelques stands de dédicaces et de rencontres avec des auteurs, dessinateurs, créateurs de webséries et youtubeur. Il faut se faire un peu de place avec le monde qui arpente les halls, mais on voit bien que le show est fait pour le public et que ce dernier aime ça.

Le hall 1 est le coin des jeux vidéo. Que ce soit matos, démo, LAN, old school, ou tournoi, tout est empilé dans ce hall, ce qui est autant un avantage qu’une déception car on ne risque pas de rater grand chose mais on fait le tour vite fait. Et pour le coup, les gens qui étaient venus au Toulouse Game Show pour les jeux se sont tous précipités dans ce hall, créant un capharnaüm assez infernal. Peut-être pas le meilleur choix.

Mais que dire de ce Toulouse Game Show en fin de compte ? Si vous êtes fan d’Alexandre Astier, l’annonce de la publication d’un livre Kaamelott Résistance qui fera le pont avec les trois films en préparation devrait avoir fait son travail. Par contre, si vous étiez venu faire autre chose qu’acheter des goodies… Cette année n’était visiblement pas pour vous.

Merci à l’ami Kim de GamersFlag pour la rédaction de cet article !

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