C’est le cliché basique du joueur. La vérité n’est cependant pas très loin : le geek aime mater des gonzesses en scred’, bien posé dans son canapé acheté en soldes sur internet. Si les heures défilent au compteur sur Youporn et compagnie, le joueur peut également compter sur les développeurs de jeux vidéo pour étancher sa soif de pixels frais, de donzelles virtuelles plus canons les unes que les autres. A l’heure où l’image de la femme dans les jeux vidéo fait débat, il n’en reste pas moins qu’on a quand même de quoi se rincer l’oeil, pour peu que l’imaginaire soit quelque peu mis à contribution. C’est sûr, ces héroïnes sont peut-être moins bandantes que Katsuni, il n’empêche que ça fait quand même plaisir à regarder.
En grand reporter investi que je suis, j’établis aujourd’hui ce petit classement 100% personnel des dix nanas qui m’auront le plus aguiché dans les jeux vidéo. Je vous préviens directement : c’est mes choix, alors pas question d’entendre un quelconque “mais pourquoi Jill Valentine elle est pas dedans ?”. J’aime pas Resident Evil, alors me les cassez pas, capito ? Merci bien.
Allez, je vous laisse deux petites minutes, le temps pour vous d’aller dans la cuisine récupérer un rouleau de sopalin (ooooh cochon, t’en avais vraiment planqué un dans le tiroir de ton bureau ?) et de revenir ici, prêt à en prendre plein la gueule – erk.
Numéro 10 – Linoa (Final Fantasy VIII)
Il ne s’agit clairement pas de la plus “canon” des gonzesses de ce top. Il n’empêche que tous ceux qui ont joué à FF VIII ont du, à un moment ou à un autre, avoir envie de serrer – dans leurs bras ou non – la petite Linoa. A la fois femme-enfant et combatante, elle sait trouver le juste milieu pour faire rêver les petits joueurs que nous sommes. Typiques des clichés japonais qui plaisent tant à la majorité des joueurs. OK, j’ai aussi hésité à caser Edéa du même jeu, parce que son côté “je suis méchante mais quand même vachement excitante” a quand même un petit truc qui m’aura fasciné pendant toute la partie. Coquine, va.
Numéro 9 – Lulu (Final Fantasy X)
Aaaah, Lulu. Tu as un prénom dégueulasse, c’est vrai, mais qu’est-ce que je t’aime. Il faut dire que tu as su, dans Final Fantasy X, chambouler mon esprit et me rappeler la belle époque où les sorcières m’excitaient. Oui, j’ai retrouvé un peu d’Alyssa Milano de Charmed en toi, d’une certaine manière. Non, je n’ai jamais pu m’empêcher de plonger le regard dans ton décolleté pixelisé durant toutes ces heures passées avec toi. Oui, ça a été un vrai plaisir de te découvrir une seconde fois lorsque j’ai supprimé ma sauvegarde après 100h de jeu, la confondant avec un putain de replay de PES. Ton côté sombre me plait, Lulu. Et il ne s’agit pas ici d’une métaphore pour te faire le cul, promis.
Numéro 8 – Faith (Mirror’s Edge)
Quoi, qu’est-ce qu’il y a ? Pas d’accord ? Parce que Faith passe son temps à courir et à sauter de toit en toit, elle n’aurait pas le droit de figurer dans ce classement ? Sérieusement, une nana, sous prétexte qu’elle a les aisselles qui puent, n’aurait pas le droit de plaire à un homme, aussi basique soit-il ? En partant de ce concept, ça signifierait quand même éliminer de tous les tops de meufs canons toutes les portugaises et allemandes, à l’avenir. Bah ouais, les touffes sous les bras (quoi ? moi, plein de clichés ?) sont rarement compatibles avec une bonne odeur. Adieu Heidi Klum et compagnie du coup. Enfin bref, Faith est canon. Par ailleurs, imagine ce que tu pourrais faire d’elle, vu sa souplesse. Graou.
Numéro 7 – Joanna Dark (Perfect Dark)
OK, petite exception à la règle que je me suis fixée depuis des années maintenant. Oui, je viens de caser dans ce top une rouquine. Faut bien avouer que je peux me faire violence le temps d’une aventure et mettre de côté la chevelure de feu de Joanna pour pouvoir apprécier ses courbes enchanteresses. Pour le coup, faut bien reconnaître qu’on ne peut que regretter que le jeu soit un FPS et qu’on ne puise pas mater tranquillement la belle tout au long de l’aventure. Dommage que les développeurs aient massacré le dernier jeu dont elle est l’héroïne, pas sûr qu’on ait la chance de la revoir de sitôt.
Numéro 6 – Ivy (Soul Calibur)
Difficile de faire un classement des plus belles femmes du jeu vidéo sans parler de Soul Calibur et de ses (très) nombreuses combattantes, toutes plus canons les unes que les autres. Y’a fallu faire un choix, et j’ai craqué pour Ivy. Bordel, quelle femme fatale. Sérieusement, je suis sûr que toi aussi t’as eu un sourire niais en voyant cette grosse paire de loches rebondir dans la joie et la bonne humeur pendant les combats et autres cut-scenes pourraves du jeu. J’sais pas, peut-être que son épée/fouet lui file aussi un côté S.M. qui doit titiller ma curiosité au fond. Putain, accroche-moi à un truc, fous-moi un baillon-boule et tape-moi sur le cul, grande folle !
Numéro 5 – Ayane (Dead or Alive)
Si Soul Calibur a droit à son lot de bombasses, que devraient-on dire de Dead or Alive ? Sans doute développé par la plus grande équipe de vicelards de l’histoire du jeu vidéo, DoA compte le plus grand nombre de canons au mètre carré. J’aurais pu parler de Tina, de Kasumi ou de n’importe quelle autre nana, mais Ayane et sa coupe violine m’ont toujours fait kiffer. Le côté “je suis une ninja super sexy” m’a toujours titillé, et je rêve toujours secrètement qu’elle se glisse dans ma piaule à pas feutrés au milieu de la nuit. Ouaip, je sais que j’suis un cas social, mais j’assume. Allez, regardez-moi cette nana, on a le droit de rêver un peu, bordel !
Numéro 4 – Nina (Tekken)
Moi qui me suis arrêté aux poupées gonflables dégueulasses, gueule grande ouverte pour pouvoir y fourrer tout ce qui nous passe par la tête, j’étais loin d’imaginer pouvoir découvrir le summum du sextoy pour hommes (remarque, ça marche aussi pour les femmes hein, y’a pas de raison) dans un jeu vidéo. Parce que cette bombasse de Nina, bah c’est une femme-robot en fait. Ouaip, une cybergonz’ encore plus canon que celles d’Austin Powers. Et la version 7.0 du machin est sacrément bien gaulée, à des années lumières du vomi de pixels du premier Tekken. Ah oui, j’oubliais de préciser qu’Anna, sa frangine, est elle aussi sacrément canon et qu’on peut toujours espérer se farcir les deux lors d’un repas de famille robotique un peu trop arrosé. C’est ça qui est bon !
Numéro 3 – Juliet Starling (Lollipop Chainsaw)
J’avoue tout, je n’ai pas encore joué à Lollipop Chainsaw. Je suis simplement tombé amoureux de la belle Juliet lors d’une présentation organisée lors d’une précédente édition de la gamescom. Les salauds ont joué sur mon point faible – partagé par bon nombre d’entre vous, je le sais. Sérieux les gars, c’est pas réglo le coup des pom-pom girls. Ouais, j’ai toujours rêvé d’être américain, de jouer quarterback de mon équipe, d’avoir une veste qui a la classe avec les initiales de mon école sur la poche de devant, et surtout de serrer la belle blonde qui crie mon nom sur le bord du terrain. Alors pour le coup, vivement que je récupère une version du jeu pour que je puisse “sauver la cheerleader”, même si elle l’air de très bien se démerder toute seule.
Numéro 2 – Bayonetta (Bayonetta)
Y’a pas à dire, le cuir, ça déboîte. Sérieusement, le type qui a eu l’idée d’en faire des pantalons mérite une récompense folle, genre l’équivalent d’un Prix Nobel, ou quelque chose comme ça. SEGA et Platinum Games aussi, au passage. Non parce que créer Bayonetta, sérieusement, c’est sans doute la meilleure idée qu’ils aient eu depuis un moment. Déjà que le jeu en lui-même déboite, ce personnage est juste splendide. Elle surfe sur la tendance “je suis une sorcière ultra puissante mais surtout ultra canon”, et le fait très bien. Oui Bayonetta, tu m’as ensorcelé, et j’veux bien que tu me sacrifies au cours d’un rituel chelou si on a pu passer une nuit ensemble, rien que toi et moi. Remarque, y’avait aussi une autre sorcière ultra canon dans l’aventure, tu peux lui dire de venir aussi. Ouais, finalement oublie l’histoire du rituel, et arrange-moi le coup avec ta copine là. Fais pas ta pute, allez.
Numéro 1 – Lara Croft (Tomb Raider)
Qui d’autre pouvait être numéro un, après tout ? Voilà maintenant vingt ans que tu as fait ta première apparition sur le devant de la scène, pour ne plus jamais la quitter. A l’époque, les quelques pixels de tes tétons pointants ont transformé la façon de voir le jeu vidéo pour plus d’un mec. Tu es devenue une véritable icône, une star internationale, sortant allègrement des sphères du jeu vidéo. J’ai eu peur que tu prennes la grosse tête, que je ne te suffise plus, après ça. Publicités, carrière au cinéma, il faut dire qu’il y avait de quoi avoir une certaine appréhension. Mais à chaque fois tu es revenue. Bien sûr, notre relation n’a pas toujours été au top et tu m’as beaucoup déçu par moments, avec ces sombres merdes de Tomb Raider 4 et 5 notamment. Mais notre amour a survécu, et aujourd’hui encore, avec ce reboot, je te vois comme je t’ai toujours vu. Une femme combative, mais fragile. Et ultra-bonne, surtout. Allez, c’est pas parce que t’es une star que tu vas prendre tes aises. Cherche moi une bière, et prends-toi du Labello. Le match commence, c’est l’heure de ma pipe. Je t’aime.
Et en bonus, quelques cosplay de cette même Lara !
Bon, bin voilà, je crois qu’on a fait le tour des nanas qui me plaisent et m’ont toujours fait rêver durant mes longues nuits d’hiver, manette en mains. A noter que j’aurais bien pu caler d’autres gonzesses là-dedans et que le choix a été difficile. Rikku, Anna Williams, Jade, Peach (quoi ?), Ada Wong et toutes les autres, je ne vous oublie pas. Allez, si vous êtes sages vous aurez peut-être droit à un dossier du type “les meufs pas mal du jeu vidéo qu’on voudrait bien se taper en fin de soirée plutôt que de rentrer se palucher à la maison”. Ouais, un truc classe quoi.
NB : Que personne ne parle de ce dossier à ma meuf, si j’pouvais éviter une crise conjugale pour une liste de nanas qui n’existent pas, ça m’arrangerait. Merci, vous êtes des potes.