Arrêtez tout : le meilleur jeu de course arcade du monde est de retour ! Electronic Arts propose aujourd’hui Burnout Paradise Remastered, réédition d’un titre paru sur la génération précédente, en 2008. Dix ans plus tard, que vaut le titre qui avait été véritable coup de coeur pour nous à l’époque ? Réponse dans ce test.

Take me down to the paradise city

L’introduction des Guns N’ Roses est toujours là, et nous met une fois une pêche d’enfer dès les premières secondes de jeu. Burnout Paradise Remastered est là, et on retrouve immédiatement les bons réflexes qu’on a connu dix ans auparavant. On (re)découvre avec grand plaisir le monde ouvert de ce cinquième épisode de la saga. Même après une décennie, on se rend compte que la conception de la carte du jeu est absolument parfaite : Paradise City est construite à la perfection, permettant d’enchaîner des sauts, des passages secrets à une vitesse complètement démesurée. Un vrai modèle du genre.

AAAAAH CETTE MUSIQUE ! <3

Burnout Paradise Remastered propose l’intégralité du contenu de l’époque. On a ainsi droit à différents types d’épreuves : la course classique, le Road Rage dans lequel il faut effectuer un maximum de takedowns sur les adversaires, la Traque où il faut aller d’un point A à un point B sans se faire exploser, ou encore les Parcours Burning, des épreuves chronométrées.

Y’a du monde en ville

A côté de cela s’ajoutent énormément de choses à faire, en dehors des épreuves : de nombreux panneaux Burnout sont à briser, des raccourcis à découvrir, mais aussi des défis avec des scores à placer sur chacune des routes de la map. Bref, il y a de quoi faire !

Burnout Paradise Remastered est un très bon jeu, c’est indéniable. Toutefois, on se rend bien vite compte que le portage en lui-même est extrêmement simpliste. Le boulot effectué sur la partie graphique est assez limité. Nous avons comparé ce Burnout Paradise Remastered tournant sur la Xbox One X de la rédaction, et la version classique de Burnout Paradise sur Xbox 360, disponible via la rétrocompatibilité de la console, et la différence est très loin d’être bluffante. On voit que les modèles des voitures sont un peu plus fins, que la végétation est parfois un peu mieux modélisée, mais rien d’incroyable. La présence de l’ensemble du contenu additionnel du jeu, ainsi que des serveurs qui seront peuplés, sont les seules choses qui justifient réellement de choisir cette version par rapport à l’ancienne.

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