![BANDEAU-LOGO-ROND-1024x247 [2H@T – Test PC] Mini City: Mayhem](https://i0.wp.com/www.conso-mag.com/wp-content/uploads/2024/12/BANDEAU-LOGO-ROND.jpg?resize=1024%2C247&ssl=1)
2 heures à tuer est une catégorie spécifique de test express de jeux vidéo, où le testeur passe maximum 2 heures, et pas une seconde de plus, sur le jeu pour donner son avis rapide ainsi qu’une évaluation pour savoir si on a envie de continuer de jouer au titre, ou si l’on passe au suivant.
Galerie d’images
Vidéo(s) de gameplay
Le test flash
Mini-city Mayhem est un jeu de construction de ville cosy comme on les aime. Une petite musique sympa, des blocs à poser et on passe vite des dizaines de minutes sur une partie. Proposant plusieurs modes de jeux assez variés, comme le mode Mayhem et le mode Zen qui vous demanderont chacun de choisir une carte pour créer une ville en juxtaposant des blocs de bâtiments et des blocs de routes. Avec une différence de pression du temps pour le mode Mayhem, qui vous demande d’être très réactif au risque de voir des bidonvilles pousser et envahir le terrain de jeu jusqu’à la défaite. Le mode Zen lui comme son nom l’indique n’aura pas cette contrainte. Pour les blocs de villes de base, ils nécessiteront obligatoirement une route à proximité pour être posés, impossible d’anticiper en placant un bloc avant qu’une portion de route soit présente. Qui plus est les blocs sont distribués de manière aléatoire sous formes de cartes coutant de l’argent, vous aurez la possibilité de choisir entre plusieurs, mais il est possible de devoir attendre de poser quelques blocs de bâtiments avant d’avoir un morceau de route à poser pour avancer sur la carte. Il faudra donc jongler régulièrement entre les deux pour ne pas se retrouver bloqués sans possibilité de placer quelque chose. Vous obtiendrez des bonus si vous assemblez des bâtiments de la même couleur, et certains blocs sont empilables pour pouvoir progresser également verticalement vos constructions. De temps à autre, vous bénéficierez également de bâtiments spéciaux École, Bibliothèque, Hôtel, ect… vous apportant des bonus d’améliorations pour vos stats, mais attention ceux ci sont souvent imposants et vous ne pourrez rien empiler dessus. Des conseillers vous seront également proposées en cours de partie pour également booster vos capacités comme des cartes gratuites, ou des réductions de prix pour abattre un arbre pour faire place à un bâtiment par exemple.
Les autres modes de jeux seront des modes un peu plus rapides, avec un mode construction d’une tour unique en empilant le plus possible de blocs aux formes diverses, et un mode d’empilage de bloc balancés depuis une grue, pour essayer d’atteindre la plus grande hauteur possible. Enfin un dernier mot sand-box, vous permet de vous amuser avec le moteur de jeu en créant votre ville en toute liberté, avec l’intégralité des blocs et bâtiments existants, sans contrainte quelconque d’objectifs ou de temps.
Sympathique à regarder à l’écran, le jeu propose des graphismes relativement épurés, mais qui ne dénote pas avec l’interface du jeu. Le gameplay est efficace, plus particulièrement au combo clavier/souris. Manette en main, les choses se corsent, et même si plusieurs modes de contrôles sont disponibles (manette xbox/ps, steam deck), il manque la possibilité de remplacer le pointeur de la souris, d’autant plus en mode Steam Deck sur la Rog ally utilisée pour le test. Il n’est pas possible de modifier les commandes attribués par défaut, et c’est un point négatif pour ceux qui pensaient pouvoir en profiter sur les consoles PC portatives sorties ces dernières années. On peut jouer avec l’écran tactile en même temps, mais ça reste difficile de jouer avec la contrainte du temps, pour le mode Mayhem par exemple.
Le Test
Mini City Mayhem
Un joli jeu cosy de construction de mini ville
Pours
- Pas mal de modes de jeux
- Le mode Mayhem est tendu mais très sympa
Contres
- Pas vraiment adapté à la manette malgré une compatibilité présente
Conclusion
-
Un jeu de construction simple et efficace avec graphismes simple et mignons, on y passerait bien du temps entre deux gros titres