Rien que de voir les mots Need for Speed Heat s’afficher sur mon écran, mon petit cœur a commencé à palpiter… que j’aime ce jeu ! Mais là, j’étais bien en dessous de m’attendre à ce que j’allais voir…
Pour moi qui pense depuis toujours que NFS reste le nec plus ultra en terme de jeu de voiture, j’ai encore pris une claque… tout dans ce jeu est pensé pour faire exploser notre adrénaline…
Animal diurne ou nocturne ?
Un mode jour, où on reste plus ou moins sage, à participer à des jolies courses pour amasser de quoi améliorer et customiser au max notre petite collection de bolides qui nous attend bien tranquillement dans notre garage. Et là, vraiment, on a un choix dingue d’options plus voyantes les unes que les autres… mais là on n’hésite pas, on est là pour se montrer ! Alors on change tout : carrosserie, pneus, turbo (on en met un gros, hein !), bandes décoratives, néons… Puis pour faire classe, maintenant, on peut aussi customiser notre « pilote » … vêtements de luxe, accessoires… alors go se mettre en mode beau gosse avec une groooosse voiture !
Mais le soir ….. vrouuuuuuum !!! Go les courses pirates, go faire tout ce qu’on n’a pas le droit ! Si l’on pense que ça sera dément de défier les plus grosses pointures des courses interdites, le plus chaud reste quand même d’échapper à la police (on est dans un jeu vidéo, on a le droit) … qui sort la nuit non pas pour nous arrêter, mais pour nous racketter (oh, ça va pas bien non !). La première fois, je me suis arrêtée bien sagement .. Mais juste la première fois alors !
Un petit clin d’œil aussi décors et lieux, qui sont époustouflants de beauté, que ce soit en ville ou plus en périphérie. Plusieurs endroits ont été également conçus pour nous éclater et faire de notre route un vrai terrain de jeu : l’aéroport, la grande zone industrielle, la carrière… Et c’est pas fini.. de nombreux secrets et lieux cachés sont à découvrir, mais je vous laisse le plaisir de voir tout cela par vous-même !
Bon, c’est pas de tout ça.. mais j’ai une voiture à équiper moi… Vite, vite, vite, j’y retourne !